Les fuites d’eau invisibles sont parmi les plus redoutables pour les gestionnaires de réseaux. Non détectées à temps, elles peuvent entraîner des pertes importantes, des dégradations de terrain et une augmentation des coûts d’exploitation. Heureusement, il existe aujourd’hui des solutions techniques pour les repérer plus tôt et agir rapidement.
Pourquoi certaines fuites passent inaperçues ?
Les réseaux enterrés, les petites fissures et les pertes sur des tronçons peu surveillés rendent certaines fuites difficiles à localiser. Lorsqu’elles ne génèrent pas de dégât visible en surface, elles peuvent persister pendant des mois, voire des années, sans intervention.
Les signes d’alerte à surveiller
Une baisse progressive de pression, une augmentation inexpliquée des volumes distribués ou des différences entre volumes injectés et consommés sont souvent les premiers indices. Le suivi de ces écarts est essentiel pour détecter les fuites invisibles.
Les outils modernes de détection
Grâce aux nouvelles technologies, plusieurs méthodes permettent aujourd’hui une détection proactive :
- ✔️ Analyse des données issues des compteurs intelligents
- ✔️ Pose de capteurs acoustiques ou de pression
- ✔️ Modélisation hydraulique du réseau
- ✔️ Surveillance par satellite ou drones thermiques dans certains contextes
Avec Omijo, on gagne en réactivité
Omijo centralise les signalements et les données de terrain pour vous permettre de croiser les informations, détecter les anomalies et déclencher des interventions ciblées. En connectant les agents, les données et les événements, la plateforme renforce la capacité de réaction face aux fuites difficiles à localiser.
Conclusion
Repérer une fuite invisible, c’est souvent une course contre la montre. Mais avec une bonne organisation, des outils adaptés et une plateforme comme Omijo, il est possible d’agir avant qu’il ne soit trop tard. Mieux vaut prévenir que réparer.
Vous connaissez une collectivité confrontée à ce problème ? N’hésitez pas à lui partager cet article.
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